nom ☾ Santelli. Ça vibre, ça chante et ici, dans le coin ça se fait entendre. C’est le nom d’un patrimoine, d’une histoire, depuis des générations. La richesse acquise sur les pavés, l’empire immobilier. Poésie oublié au profit du succès. prénom ☾ Uriel, l’archange de multiples traditions, de multiples églises. Le poids d’une histoire et la douce référence à une spiritualité trop absente. Catholicisme présent, accompli, qui guide ses parents dans le choix d’un destin, d’une vie. âge ☾ Vingt-sept années écorchées. métier ☾ Danseur étoile. Poète des ballets. Le corps s’emporte sur les airs de classique, prouesses laconiques. Les pieds glissent sur les parquets usés des salles de danse, le corps est en souffrance et pourtant dans son cœur, résonne la jouissance. Etoile brillante du Bolchoï, trop vite montée, trop vite perdue. Trop vite abîmée, trop vite descendue.origines ☾ Français dans l’âme, corse dans les veines. Le palpitant qui pulse du sang chaud de sa patrie. à porto-vecchio depuis ☾ Officiellement depuis toujours. Il y est né, il y a grandi. Il y a fait son premier baiser et ses premières conneries. Puis il en est parti, désir d’aventures, y revenant ensuite, le corps et l’âme mutilés de quelques blessures. situation émotionnelle ☾ L’exil. La solitude. Comme une lueur paumée au fond des mirettes claires. Le cœur sait il aimé quand la raison se détourne ? Des passions qui restent, qui marquent, qui hante les songes et les rêves et pourtant, le gout amer de la défaite. Le mal d’amour, depuis toujours. orientation sexuelle ☾ Le regard ne se pose pas sur le genre. L’œil ne détaille pas la silhouette de l’homme, plutôt que de la femme. Lassitude des mœurs et des conventions. Il se fit aux tréfonds de l’âme, plutôt qu’à la beauté du corps. Il vibre pour un sourire et pour quelques soupirs. Il s’éprend des êtres et non de leurs définitions. Il s’éprend des lettres, qui épellent leurs prénoms. situation financière ☾ Opulente est la richesse, florissantes sont les finances. Le succès accompagne la réussite et pourtant, depuis toujours, ses couverts sont d’argent et ses vêtements élégants. traits de caractère ☾ Perfectionniste, passionné, rêveur, gracieux, cultivé, dur avec lui même, impulsif, mélancolique, naïf, acerbe, déterminé, tempétueux. maintheme ☾ "If" d'Etienne Daho & Charlotte Gainsbourg avatar ☾ Dane Dehaan

t'y crois ? ☾ Oui. Non. Ça dépend des moments. C’est la bonne excuse, qui arrange, blâmer le karma, avec sur les lèvres, un sourire narquois.
échelle des emmerdes ☾ Ascension fulgurante. Étoile brillante. Tu as tout pour réussir. Tout pour te réjouir. Tu as la vie devant toi et la perfection à tes pieds. Lorsque tu foules, gracieusement, tous ces planchers. Les scènes d’enchainent. Les représentations attirent l’attention. Toi, tu vis pour la danse, perdu dans ta transe. L’argent, la célébrité, la réussite. Tu cours, tu accélères, bien trop vite. L’amour lui, fait défaut. L’amour lui, se perd dans des draps et des soupirs. Tu crois aimer, tu fabules, tu vends ton âme à quelques séductions de passage. Tu vends ton âme au diable, à celui là même qui aspire un peu plus ton énergie vitale. Tu détales ? Non, tu restes, tu fermes les yeux. La danse, encore. La danse, t’endort. Vigilance perdue, conscience au placard. Jusqu’à la blessure. Les engelures, d’un archange tombé du ciel. La peau se teinte, éparpille, couleur vermeil. Le genou qui lâche et l’âme qui se fend. Qui s’éparpille. Qui se brise, en mille morceaux. La fuite, trop facile de ta silhouette gracile. Tu lui en veux comme tu te maudis. Son visage, qui te murmures que tu n’es pas assez bon. Recommence, encore et encore. Tu le revois, la nuit. Tu n’es plus qu’un fumigène, tu n’es plus qu’une vapeur, qui s’évapore et se perds. Silhouette brisé, ratatiné. Ténacité éprouvée. Pourras-tu seulement un jour, recommencer ?
groupe ☾ OUVR'PARAPLUIE

Ainsi soit-je ☾ Uriel c’est le roi, c’est archange, l’unique. Enfant solitaire, sans frères, ni sœurs. C’est celui à qui on a toujours tout accordé et pourtant, qui n’a jamais été le petit con trop prétentieux. Uriel, il sait ce qu’il vaut. Il sait de quoi sont faites ses tripes et son âme. Il sait de quoi il rêve. C’est un prince, aux gestes gracieux et au porté délicat. Il a appris la modestie, il a appris à vivre pour lui. Il a appris que les apparences, ne sont souvent que fades et dénuées de sens. Que la prétention cause la perte. Que l’assurance compte, bien employée. Que le charisme porte, mais la détermination paye. Alors Uriel, il s’est appliqué. Toujours. Il s’est offert, aux planchers de danse et aux regards exigeants. Il a écouté son corps et ses mouvements. Il est entré dans une transe lyrique, relents de poésies sur les refrains de classique. Étoile montante, étoile gagnante. Mais toujours, le sourire délicat et le cœur qui bat, fort, devant les applaudissements et les compliments.  Optimistique moi ☾ Le monde t’ouvre ses portes. Les ailes se déploient. Tu veux t’envoler, voguer, te laisser porter, par le vent et ses bourrasques. Tu apprends les langues, tu t’abandonnes aux cultures. Tu t’enfonces dans les racines. Tu épouses les traditions. Tu soupirs contre les nouveaux corps et souris aux nouveaux décors. Tu t’épanouis, tu grandis. Tu ne vis pas de grand chose, le luxe est accessoire. Tu recherches le salut de l’âme, te laisses dévorer par les flammes. Tu parcoures les paysages perdus, délaissés, les bas-fonds comme les beaux quartiers. Tu t’émerveilles d’un rien et te fascine pour tout. Avide de découverte, amoureux au regard perdu par la fenêtre ouverte. Je te rends ton amour ☾ À la conquête des prestigieuses scènes. Des opulents opéras, des fabuleux théâtres. Bouffées d’oxygène. Leurs regards brillent, devant tes prouesses, alors que ton esprit s’envole, loin de ton corps. Danse, avec ton âme, au dessus de ta carcasse contorsionnée et délicate. Tu les convaincs, toi, Uriel, comme un saint. Ta place au Bolchoï te semble comme un trône doré, comme une métaphore de la réussite. Ton cœur pulse, avec la même ardeur que le baiser que tu viens déposer sur les lèvres de Tullio. Emporté, passionné. C’est le début d’une nouvelle ère, d’une consécration. C’est le salut de ton âme, les soupirs de ton corps et les rêves de ton cœur. Tu t’abandonnes à la danse, aux rôles, aux costumes. Tu t’abandonnes aux personnages et à leurs traits, à leurs corps, à leurs pas. Tu t’abandonnes à la grâce divine. Tu t’abandonnes à lui et son regard sévère, à lui et ses attentions éphémères. Tu t’abandonnes à son exigence et à ses envies. Poupée de chiffon manipulée. Marionnette obnubilée. Son regard est glacial et ses passions brûlantes. Tout n’est que contraste, douleur et plaisir. Tout n’est qu’ardeur, pour mieux resplendir.  Réveiller le monde ☾ L’air marin et le chant des mouettes. Cette sensation, viscérale, comme des papillons dans le bide, d’être de retour à la maison. De retour chez toi. Il y a ce soleil, qui illumine ton visage et ton teint pâle. Cet astre, qui brille, se reflète, au fond de tes yeux clairs. L’ange aux ailes blessés, qui vient chercher, chez lui, repentir et pardon. Miracle et guérison. Refuge et attention. Le corps est tremblant et le cœur abîmé. Les cachets, pilules du diable, pourrissent ta carcasse et altère tes sens. Sensation d’être invincible, là, si bas, hypnotisé par les anti douleur. Comme si le noir de ta vie reprenait soudain des couleurs. Tout s’évapore, tout se disperse, pour ne laisser que ton désir, ta témérité, de vouloir encore danser. Pourvu qu'elles soient douces ☾ Il y a toujours eu son sourire, qui se reflétait dans tes yeux clairs. Max, c’est ta moitié d’âme, depuis toujours. Celui à qui tu as tout confié, à qui tu as tout dit et tout avoué. Celui qui a toujours été là, même quand de l’autre bout du monde, tu pensais à lui, tu pensais à vous, et à vos conneries. Les confessions d’une nuit et les rires d’une vie. Les appels perdus, aux heures impossibles et pourtant, toujours ces airs rieurs et gamin. Comme si rien ne pouvait changer. Comme si la vie, dans le fond, ne peut vous altérer. Pourtant, tu ne veux pas qu’il soit ton pilier. Tu ne veux pas de son soutien et de sa pitié. Tu veux triompher, repartir, te perdre, fou et déterminé. Tu veux danser, à t’en crever le corps et fendre l’âme. Oublier les écorchures et les drames. Pourtant, Max, il continuera de te tendre la main. De poser sur toi, un regard doux et un sourire mutin. Il sera toujours là, Max, pour soutenir tes rêves et tes peines. T’as beau te mentir à toi même, relever le menton, fierté mal placée, dans l’fond, tu l’aimes. T’as juste envie de murmurer son prénom, jusqu’à la fin, comme une vieille rengaine. C'est dans l'air ☾ Les lèvres qui murmurent, dans le métro, dans la voiture, dans les transports. Les lèvres qui fredonne, un air silencieux, qui pulses à tes oreilles. Tu vis dans un monde de notes, de croches, de blanches et de noires. Les mélodies résonnent dans ton casque alors que les mouvements en suivent le rythme, délicat et emportés. Discret et appliqués. Certains t’observent, sourit. Tu fascines. Mais toi, tu vis dans ton monde de passion, de chansons. Tu vis dans les ballets auxquels tu offres tes tripes, à travers quelques pas chassés, pointes et portés. Le public, le grand jour, n’a pas d’importance. Tu danses partout, n’importe où, au hasard de quelques notes arrachées à une jungle urbaine bien présente. Tu offres la poésie, la douceur. Les pupilles qui pétillent, de te voir y mettre tout ton cœur. Déshabillez moi ☾ Les tissus synthétiques glissent sur ta peau, comme la caresse d’un amant. La plupart du temps, tu arbores des fringues de sport. Confortables et malléables. Collants qui te colle au corps, comme une seconde peau. Ta silhouette sèche est dessinée, tes muscles, saillants, épousés. Tu n’arbores pas cette féminité. Tu ne sonnes pas, comme un type juste fragile et timoré. C’est le charisme, qui se dégage de ton visage. La détermination, qui brille dans tes yeux. La prestance, lorsque tes classiques tenues disparaissent, pour laisser place aux costumes parfaitement taillés. L’allure, le charme. Pourtant tu n’es pas à l’aise, dans ce défilé, derrière ces masques d’hypocrisie, juste pour plaire. Coqueluche des soirées, poupée des vieux financiers. Celui qu’on veut baiser, celui dont on veut abuser. Pourtant celui qui veut juste resplendir, sur un parquet usé. Celui qui veut s’emporter, sur une scène éclairée. Alors la plupart du temps, tu troques l’allure contre l’invisibilité. L’opulence et la prestance contre la tranquillité. Disparaître du grand jour, pour la nuit, briller. Et si vieillir m'était conté ☾ Le corps parsemé de marques. Quelques tatouages, au hasard du temps. Léger et frêles. Un cygne blanc qui se perd sur tes côtes, un petit cœur sur le côté de ton index et une constellation à l’intérieur de ta cuisse. Comme pour sceller dans le temps, marquer ta peau de l’inoubliable. Célébrer l’éphémère et le cœur qui se perd. Les significations sont gravées au fond de ton âme, que ton corps expose sans honte. Sans gêne. Les cicatrices, elles, sont plus rares. Tu dois être la perfection et pourtant les pieds sont marqués de l’éprouvant des entrainements. Pourtant les membres arborent quelques traces, d’un parcours d’excellence et de grâce. La trentaine approche, avalant, dans ses flots, un tourbillon de souvenirs et de drames. Paradis inanimé ☾ Les prunelles limpides se perdent dans l’immensité de la nuit. Curiosité pour le vaste de l’univers, là allonger sur le sol, isolé, même en hiver. Tu te passionnes pour les astres et les comètes. Tu rêves de voyages, tu rêves de planètes. Ton plaisir coupable, de rester là, oisif, à juste contempler ce que tu trouves si poétique, si merveilleux et si mystique. Les étoiles brillantes d’une nuit, d’une vie. Tu les nommes, tu repères, les constellations. Romantisme étriqué trop souvent oublié. Dans le fond, tu n’es qu’un rêveur, perdu dans le monde et son immensité. À l'ombre ☾ Il chante, aussi, le petit rat de l’opéra. La voix est un peu brisée, par le tabac et les excès et pourtant. Pourtant l’ange offre sa parole divine, à travers quelques rimes. Au hasard d’un moment oublié, loin de tout et de ta réalité. Une douche trop brulante, une chanson à la radio et la voix qui s’emporte. Qui s’enflamme, juste le temps de minutes éphémères. Talent caché, talent inexploité. Quelques notes au piano, instrument dont tu joues, depuis l’enfance. Comme un relent du passé, jamais trop appris, jamais trop oublié. Lyrisme de quelques paroles, au hasard envolées. Mélancolie d’un autre monde, d’une autre possibilité.

pseudo/prénom ☾ wiise / Elisabeth présence ☾ 6/7j par là t'aimes quoi toi dans la vie ? ☾ Le chocolat, les chips, la poésie.    découvert le forum grâce à ☾ Bazzart je pense que ☾ Ca s'annonce confortable par ici   un dernier mot ? ☾  

URIEL PETIT ANGELOT DU LOVE. il est bien cool ce danseur, j'ai trop hâte de voir votre trio en action mes gugus.

Bravo, bravo t'as géré ton coup et bon sang c'est que le début de tes aventures. Faut dire qu'à Porto-Vecchio y'en a des saloperies qui traînent - et faut pas croire, la poisse épargne personne, même pas ta souris qui traîne dans sa cage. Avant de te lancer, faudra faire deux-trois et arrête de serrer les fesses, c'est pas si chiant que ça - un peu, mais genre niveau 1 sur l'échelle de l'emmerditude.
☾ les recensements
☾ ta fiche de liens et de rps
☾ tes scénarios ou pré-liens
Et nous te remercions pour ton sens du sacrifice, que la chance soit avec toi.