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 Bleu Noir {Tullio} - Octobre 2016

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Uriel Santelli

Uriel Santelli
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pseudo : wiise
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MessageSujet: Bleu Noir {Tullio} - Octobre 2016   Bleu Noir {Tullio} - Octobre 2016 EmptyDim 14 Mai - 21:28

Uriel, il a quelques verres dans le sang. Il n’est pas bourré, l’ange blond à la tignasse en bataille. Il est juste un peu ailleurs, un peu joyeux, un peu nonchalant, aussi. Il a juste voulu relâcher la pression sur ses muscles, son corps et son esprit. Il a juste voulu se détendre et oublier, avec les autres de la troupe. La grâce les porte, à ces danseurs enviés par le monde entier. Ils se font remarqués dans la rue, enchainant pirouettes et pas de danses, quelques verres à la main. On sait qu’ils sont du Bolchoï. On les observe avec fascination et envie. Avec émerveillement et jalousie. Pour leurs corps souples et leur charisme. Uriel, il tranche, avec sa tignasse blonde et son air fatigué. Fatigué des répétitions, de l’exigence de Tullio, qui monte la barre, toujours un peu plus haut. Pourtant, il rayonne, là, perdu dans l’insouciance. Il se perd, dans la nonchalance légère et euphorique de l’alcool. Il fume même une cigarette, ou deux, peut être trois, perdu avec ses amis, avec ceux qui depuis des années, partage sa vie. La troupe, c’est une grande famille, là pour les bons, comme les mauvais moments.

Mais la nuit s’avance, les corps dansent, se perde, se meuvent, dans la grisaille de la ville teintée de l’orangé des lampadaires. Jusqu’au moment où il est tard, trop tard probablement et et tous se séparent. Il décide de marcher, Uriel. Les mains dans les poches et la musique dans les oreilles. Le classique, qui emporte ses pas, malgré ses baskets. Il saute, autant que son jean le lui permet, il s’abandonne à une chorégraphie improvisée.
Jusqu’à l’appartement luxueux, trop cher et surement trop grand, qu’il partage avec Tullio. Tullio son entraineur, son mentor, son coach et son amant. Le démon de ses journées, l’ange de ses nuits, qui dans quelques soupirs et caresses appuyées, fait disparaître doutes et disparités.

Il prend l’ascenseur, Uriel et espère trouvé à cette heure, un Tullio paisiblement endormi. Chacun a sa grande, dans l’immense appartement que la renommée, la réussite et l’héritage familial finance. Pourtant souvent, ils finissent par dormir ensembles, lorsque les ébats ont été passionnés et emportés. Lorsque la rigidité du quotidien, de la danse, de ce désir viscéral de perfection, pour Tullio, a été assouvi. Celui qui dans un gant de fer, tiens fermement l’aile de l’ange immaculé. Comme pour l’empêcher de totalement voler. De se détourner, de celui qui l’a forgé.
Alors Uriel rentre chez lui, en enlevant seulement un écouteur. Il ne prend pas la peine d’allumer la lumière, se déplaçant dans l’obscurité pour rejoindre sa chambre. Quelques pas dans le salon, un peu hagard, un peu perdu et la lumière qui s’allume, brusquement. Il est là Tullio, à moitié dévêtu. Il est là, à attendre le retour du prodige qui a disparu sans rien dire, dans un élan d’ambition et d’euphorie. Alors Uriel, il plisse les yeux un instant, surpris par la vivacité de l’éclairage. Il cligne des yeux et stoppe la musique sur son téléphone, pour retirer ses écouteurs complètement. « Désolé, je ne voulais pas te réveiller » Balbutie t-il, un peu gêné.
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Tullio Castelli

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MessageSujet: Re: Bleu Noir {Tullio} - Octobre 2016   Bleu Noir {Tullio} - Octobre 2016 EmptyLun 22 Mai - 10:22

bleu noir

   
uriel & tullio
 

   
Il a disparu, Uriel, juste après la représentation. Il est parti, sans rien te dire, encore une fois. Tu détestes quand il fait ça, quand il va avec d'autres personnes, pire encore, d'autres danseurs. Tu ne les aime pas plus que ça, les autres de la troupe. Quelques uns, quelques unes, te plaisent évidemment de tout points de vues, mais leur influence sur Uriel, ça, c'est quelque chose que tu n'apprécies pas du tout. Tu ne veux pas qu'il parte, tu ne veux pas qu'il aille voir ailleurs, tu ne veux pas qu'il vive sans toi, en fait, si tu es honnête envers toi-même. Au moins ça, honnête à ton égard. Alors tu es rentré chez toi. Chez vous, en fait. Tu n'as pas voulu aller boire un verre avec les metteurs en scène, les autres coachs, les chorégraphes. Pas la moindre envie de te retrouver parmi ces gens trop coulant, moins exigeants que toi. Pas cette nuit en tout cas, où tu as juste envie de hurler contre ton danseur. Pour une fois que tu étais satisfait de son travail, et où tu voulais le féliciter. Tu prends une grande inspiration en rentrant dans ton appartement, un maigre espoir qu'il soit finalement rentré. En fait ta seule crainte, c'est qu'il se fasse attraper dans la rue par un décérébré et qu'il ne lui fasse quelque chose. Parce que tu es persuadé qu'Uriel ne saura pas se défendre face à une menace, parce que tu es là pour ça. Tu es celui qui protège, d'une certaine façon, excessive très certainement. Et comme il n'est pas là, dans l'appartement, tu t'énerves. Tu t'emportes, alors qu'il te suffirait de l'appeler ou de lui envoyer des messages, mais tu ne le fais pas. Tu ne veux pas qu'il se croie trop indispensable, qu'il imagine que tu ne puisse vivre sans lui. D'une certaine façon c'est cruellement vrai, et c'est pour ça que ton téléphone valse contre un mur, évitant de justesse la mort complète : seul l'écran est brisé. Tu ne prends même pas la peine de le ramasser, préférant te diriger vers le mini bar, sortant bouteilles après bouteilles. Whisky, rhum, brandy, tu choisis au hasard l'un des alcool pour t'en servir un premier verre. Un deuxième aussi, dans la foulée, allant t'asseoir sur l'un des élégants fauteuil en cuir face à la télévision. La chaleur te fais enlever ta chemise, sans savoir si c'est la température de l'appartement, ou la tienne qui as trop grimpé. Tu zappes, la colère tombant au fur et à mesure des gorgées. Tu ne t'endors pas non, mais le calme t'envahis et te laisse dans une torpeur jusqu'à ce que tu entendes l’ascenseur. Tu éteins les lumières grâce à la commande, espérant lui faire croire que tu n'es pas là. Ou plutôt tu préfères attendre de voir s'il y a une autre personne avec lui, mais non. Alors tu rallumes la lumière vivement, tournant le fauteuil dans sa direction. L'alcool n'as fait que masquer la colère, qui reviens dans tes traits alors qu'il dis qu'il est désolé. « C'est maintenant que tu rentres ? » Tu lâches, ta jambe battant la mesure sur le sol. Tu ne sais pas qu'elle heure il est, mais pour toi dans tous les cas c'est trop tard. « T'es parti comme un voleur ! » Tu continues ta tirade, posant ton verre sur la table basse pendant que tu te lèves pour lui faire face. « Tu sais pourtant très bien qu'il faut du repos après une représentation ! » Ta mâchoire tressaute, pourtant ta voix reste pleine de colère. « Et que t'as pas à aller te bourrer la gueule et fumer comme un trou ! » Tu craches, alors que concernant l'alcool, tu as fait pareil. Mais toi, c'est pas la même chose non, toi t'es juste coach, tu fais ce que tu veux. Ta santé ne vaut plus rien, alors tu peux t'imbiber autant que tu le désires. Pas lui. Non, pas lui.


   
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MessageSujet: Re: Bleu Noir {Tullio} - Octobre 2016   Bleu Noir {Tullio} - Octobre 2016 EmptyLun 22 Mai - 21:25

Uriel il est un peu gêné, face à Tullio. Pas parce qu’il rentre à une heure entre trop tôt et trop tard. Une heure indécente et quelques verres qui s’écoulent doucement dans son sang et ralentissent ses réactions et détendent ses traits. Agrandissent ses sourires et forces ses rires. Non. Il est juste gêné parce qu’il ne voulait pas réveiller Tullio. Il n’aime pas gêner, Uriel. Il n’aime pas se faire remarquer de trop, pour les mauvaises raisons. Il est très humble, finalement, l’ange de ballet. Tout ce qui lui importe, c’est sa passion. Ce sont les ballets, les pirouettes et les portés. La notoriété, la réussite, découle d’une passion viscérale. Sauf alors qu’Uriel s’excuse, se veut presque un peu penaud, c’est un Tullio plein de véhémences qui l’accueille. Une attitude froide, presque acerbe. Quelques paroles qu’il crache avec force, la colère palpable dans sa voix. Sauf qu’Uriel, il fronce les sourcils. Il n’aime ni le ton de Tullio, ni sa façon de vouloir lui faire la morale comme s’il était son père. Bien qu’il soit trop jeune pour ça. Alors il soupire, Uriel. Il n’a même pas le temps de détailler le torse athlétique de celui qui partage trop souvent son lit. Il n’a pas le temps de s’extasier sur la force des bras et l’épaisseur des épaules contre lesquelles il aime se perdre. Il n’arrive à penser à rien de trop concret, à part le fait que cette situation l’agace. Fugace. Il veut juste la légèreté. Il veut juste que Tullio lui fiche la paix. Il veut juste aller se coucher. « J’suis juste sorti prendre un verre avec les autres, on a travaillé dur pour que tout soit parfait, on avait bien le droit de fêter cette victoire » Lâche t-il, comme un aveu. Comme une confession. Comme s’il a réellement besoin de se justifier. Mais c’est toujours ainsi avec Tullio. Le besoin de vérité. De tout avouer, de tout coucher sur le papier. Transparence. Clairvoyance. « Puis au pire j’ai pas à me justifier alors fous moi la paix » Le voilà qui renchérit, sur un ton qui manque de patience. Il s’agace, Uriel. Il est épuisé par une trop longue journée. Il est léger, par les verres qu’il a ingurgités, pourtant il sent que ses nerfs peuvent lâcher, exploser. Il sent que sa patience s’éreinte à cause des longs entrainements, essayes, préparatifs pour finir par le ballet tant attendu. Il a tout donné, Uriel, là-bas, sur scène, sous les projecteurs et les paillettes. Il a brillé de mille feux. Il s’est envolé, comme un archange retournant au ciel. Dans sa constellation et ses rêves. Il a vécu, jusque dans ses tripes, un énième ballet. Un énième spectacle.
Mais rien ne suffit jamais à Tullio. Il l’étouffe, son ange. Il le serre contre lui avec force, il est le cygne noir qui se jette sur le blanc. Il veut la main mise et il l’a, la plupart du temps. Uriel, il n’aime pas se battre. Il n’aime pas se quereller. Tullio a su obtenir ce pouvoir, cette influence. Il a su étendre sur l’archange ses filets. Le capturer, l’aimer, le baiser, dans quelques élans d’égoïsme. Et Uriel, dans tout ça, il s’abandonne. Par moment. Pas tout le temps. Il lâche prise, il soupire, il gémit, il sourit. Comme parfois il hurle, il cogne, il le repousse. Relation destructrice, dénuée d’amour et de réel sentiment. Juste une possessivité maladive face à un être qui lui, n’a pas la force de claquer la porte.

« Je vais me coucher, je suis crevé et oué, je suis potentiellement bourré » Déclare Uriel, alors qu’il s’est avancé, pour passer à côté de Tullio en direction de sa propre chambre. Il s’est immobilisé à côté de la haute stature de son partenaire de vie pour lui lâcher ces quelques paroles cinglantes et transpirantes de vérité. Uriel il n’a pas de filtre ce soir. Il veut juste se débarrasser de ses fringues et sombrer dans le sommeil, les yeux remplis des étoiles de la journée. Alors il marche jusqu’à sa chambre sans se retourner. La démarche un peu maladroite et pourtant décidée.
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MessageSujet: Re: Bleu Noir {Tullio} - Octobre 2016   Bleu Noir {Tullio} - Octobre 2016 EmptySam 17 Juin - 16:52

bleu noir

   
uriel & tullio
 

   
Tu sais très bien pourquoi tu agis comme ça. Tu sais très bien pourquoi tu est étouffant, pourquoi il fuit, par moments. Tu ne veux juste pas l'admettre. Tu étais doué, tu aurais pu être à sa place, et c'est pour ça que tu veux qu'il aille plus loin. Toujours plus loin, et être le meilleur de tous. Parce que sa prestance, sa grâce, sa place dans la troupe, c'était ton rêve. Un putain de rêve brisé. Alors oui tu grappilles tout, tu prends tu prends, et tu donnes aussi. Brutalité, perfection, véhémence des mots, des actes. Tu contrôles tout, tu voudrais qu'il soit comme toi. Tu as toujours tenté de le façonner à ton image, d'une certaine façon, dans certains aspects, c'est le cas, tu te plait à le croire. Alors quand il fait quelque chose d'inhabituel, tu lui en veux. Tu lui en veux d'agir comme un gamin, comme n'importe quel autre gars de vingt-sept ans, à boire et à fêter. Non, toi, tu veux qu'il soit concentré, tout le temps, parce que rien d'autre ne compte que la performance. Alors oui quand il te fais face, que l'alcool le rends arrogant, ta moue est réprobatrice. Tu ne supportes pas qu'il se rebelle, qu'il passe outre tes règles, tes recommandations. Tu voudrais te calmer, prendre une grande inspiration et laisser les choses aller, mais tu ne peux pas. Tu as encore en tête le spectacle, la beauté des gestes, la grâce des pas. Tu voulais le féliciter, l'encourager, lui dire qu'il avait été parfait, enfin. Là, tes compliments, ils sont enterrés. Il ne les mérite plus, selon ton égo blessé.  « Si, parce que tu n'es pas censé rentrer saoul. » Tu lâches, cassant. Sa santé, c'est primordial, et il n'a pas à la gâcher ainsi. C'est pour toi immuable, parce que toi-même tu souffres de cette santé, de ce qu'on a dit sur toi. « Tu veux perdre tes privilèges, peut-être, et devenir comme Stuart ? » Tu dis, les bras croisés sur ton torse. Stuart, déchiré par l'alcool, les drogues, plus capable de mettre un pieds devant l'autre. Bien sûr qu'il est loin de cette situation, l'ange blond. Bien sûr, mais il est hors de question qu'il aille sur cette pente. Tu le lui refuses, tu ne le permettrais pas. Tu ne le supporterais pas. Qu'il fasse comme si tout était normal, comme s'il n'étais pas l'un des meilleurs danseur du moment, ça te ruine le moral. Tu ne veux pas voir qu'il a besoin de moments off, de moments où il n'est qu'un jeune de son âge, sans toute la pression sur les épaules. Tu ne vois pas qu'il a besoin de contrôler sa vie, parce que tu le fais à sa place. Tu es omniprésent, malsain, c'est ta quête de perfection qui veut ça. Si un jour tu pouvais prendre sa place, être meilleur, tu le ferais. Et quand il s'arrête à côté de toi, qu'il te jauge, qu'il lâche ses mots, tes yeux voient rouges. « Va cuver, ivrogne. » Furieux, les mots trop durs sont lâchés. L'ironie c'est que tu prends ton verre sur la table pour le vider d'une traite, le reposant un peu trop fort contre la table. Mais les nerfs, renforcés par la boisson, ne se calment pas. Tu ne peux pas le laisser agir comme s'il était un prince, alors tu le suis jusque dans sa chambre. Juste avant qu'il ne ferme la porte, tu la bloques avec ta main, pour l'ouvrir à la volée. « Tu es vraiment inconscient, tu le sais ça? » Tu restes à l'entrée, la porte pour te servir de support. « Tu n'es pas rentré à pieds, au moins ? » Tu lâches un soupir, bref. « Pourquoi tu ne m'as pas appelé pour que je vienne te chercher ? » Tu connais la réponse. Tu sais qu'il ne l'aurait sans doute pas fait, mais tu aurais voulu. Savoir où il était, avec qui, à boire quoi.

   
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